1. Le sneakers addict peut critiquer une paire au moment de sa sortie. Quelques mois plus tard, il se rend compte qu’elle n’est pas si mal que ça. Il finit par l’acheter à une somme astronomique.
2. Le sneakers addict critique avec véhémence les marques lorsqu’il ne parvient pas à avoir un modèle sorti en édition limitée. Si le sneakers addict a réussi à l’acheter, il est bien content de ne pas le voir à tous les pieds.
3. Le sneakers addict n’aime pas les rééditions… sauf quand il n’a pas le modèle réédité.
4. Le sneakers addict adore marcher avec des sneakers rares mais n’aiment pas les voir aux pieds des gens.
5. Le sneakers addict critique les resellers mais revend parfois des baskets sur ebay en prenant une belle marge.
6. Le sneakers addict se plaint lorsque les sites spécialisés donnent un bon plan s’il a réussi à en profiter avant tout le monde. Par contre, il est bien content dans le cas contraire…
7. Le sneakers addict critique la qualité des versions rétros mais il finit par les acheter…
8. Le sneakers addict dénonce le fait que les plus jeunes suivent la hype alors qu’à leur âge, il faisait exactement la même chose…
Photo de la couverture : Clarkologyism
Je me retrouve totalement la-dedans ah ah
Pour le premier exemple, j’ai cracker au sneakersevent pour une puma disc CO A que je n’aimait pas dutout sans l’avoir vu en vrai
Tu l’as achetée à combien ?
@smak c’est intéressant combien tu l’as acheté ?? Moi je n’aimais pas la megatron et je l’ai prise lol comme quoi aussi je me retrouve bien la dedans lol
Pas d’accord du tout avec la 8 éme en ce qui me concerne. Ça dépend de la génération.
Bon c’est une généralité c’est vrai, mais pour moi et certaines personnes je pense, on porte et kiffe les sneaks depuis tous gosse. J’ai 38 ans, quand j’étais plus jeune, il n’y avait pas de hype, quand je portais des stan smith par exemple au debut des années 80, que je kiffais sur les tech challenge 2 ou sur les AM90 ou autre modèles, les sois disant « sneakers heads », ça n’existait pas, c’était du kiffe pur, pas de hype…
Aussi, tout à changer, quand vint la hype au début des années 90, après les JO 92 car c’est là que ça a commencé, les gens achetaient des baskets sans savoir ce qu’ils portaient vraiment pour la plupart.
De nos jours, c’est complètement différent, c’est pas du kiff, c’est de l’accessoire, tout le monde est comme une meuf qui accessoirise ses vêtements avec un sac à main, c’est fashionistas maintenant, rien à voir avec le kiff.
Ça reste mon avis 🙂
XD je me reconnait dans 90% des cas
@shoeprize je suis assez d’accord avec toi sur tes arguments après moi ça me soule c’est histoire de hype pas hype les gens si ils veulent kiffer ils ont le droit personne n’a l’exclu enfin je trouve.. J’en vois des tas sur Twitter qui dise ouais les gens ils hype les AF1 et autre et alors moi ça ne change rien à ma vie.. Et tant mieux pour eux
D’accord à 100 % !
Je suis d’accord avec toi JusT, mais personne ne parle d’exclusion, enfin pas moi en tout cas. Mais la « hype » existe bien, et les gens récupèrent qu’on le veuille ou non, mais tout le monde à le droit de kiffer bien sûr et tu as complètement raison.
@shoeprize je ne te visais pas personnellement si tu l’as ressenti ainsi désolé.. Je faisais une généralité de ce que je peux lire sur Twitter surtout.. Avec la réflexion que tu as je ne pense pas que tu sois dans cette catégorie.. 😉
Et merci pour les actus the boss
Je suis d’accord avec le 5, moi-même je critique souvent les resellers….
Au sneakers event, y’en a pas mal qui m’ont dégoûté d’ailleurs. Quand je vois tous les participants s’extasier devant les vendeurs etc, je trouve ça ahurissant!
Comment remercier un type qui vide les stocks des boutiques pour te revendre la paire 1 semaine plus tard au double de son prix? Moi je différencie bien le reseller qui va vendre une paire de 2000 ou quasiment introuvable en France par exemple, et une autre enflure (excusez moi le terme) qui te vend la 3lab5 350€.
Sneaker game ou pas, faut bien différencier les carotteurs des resellers….
Je suis 100% d’accord avec toi rien autre à dire tu as tout dit. Et à l’époque tu avais quoi 2 à 3 chaussures neuves max dans l’année là. J’ai vraiment commencé ma collection de sneakers au Lycée vers 16/17 ans avec mes petits boulots d’été mais avant ça je bavais devant les shoes, je matais des magazines et quand j’achetais une sneaker je connaissais son histoire.
50/50 je me reconnait dans pas mal de cas, aprés la hype rien a carré je prend quand j’aime et basta si mr west ou pharell ne l’ai ont pas au pied.
Aprés tes exemples sont bien trouvés, pas obligé de se reconnaitre dans les 8 cas pour se definir comme addict. (d’ailleurs l’être ou pas quelle importance)
Aprés Alex j’y etais aussi, AMEN a ton commentaire rien a ajouter, je salut l’initiative du projet mais certains stand aurai même demandez de fournir la vaseline !! du foutage de gueule a croire que l’on est trop con pour suivre les cotes ou peut etre attendez t-ils un car de chinois????
@alex tu as raison.. J’ai hésité à monter et au final je me suis résigné pour cop des paires au double ou au triple ça ne m’intéresse pas.. Pour voir une yeezy red acheté par mes soins à 260euros vendu je ne sais quel prix…
Non t’inquiète pas JusT, je ne me sentais pas visé 😉
HAHAHAHA so true!! Par contre le sneakers addict à du mal parfois à chausser certaines sneakers rare, de peur de les salir…
[…] cycle sans fin. Les marques ont très vite compris la psychologie du sneakerhead, un être plein de contradictions. Il n’aime pas avoir les mêmes sneakers que tout le monde. C’est pourquoi elles ont […]