Cette article est dans la continuité de celui que je vous présenté en début de semaine (10 affiches percutante qui illustrent les révolutions dans le monde arabe). Je vais me focaliser sur l‘Egypte. Il est fou de voir à quel point le tag peut dégager une telle puissance. Les égyptiens en avait ras le bol de la dictature. Cette colère s’est matérialisée par des graffitis d’une certaine virulence du genre. Vous ne comprenez pas l’arabe ? C’est pas grave. Les images parlent d’elles mêmes….
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[…] L’art témoigne de l’histoire. Ces sculptures ont été réalisées sur des lieux où se sont déroulés des combats de la seconde guerre mondiale, en Yougoslavie. Les sculpteurs et les architectes se nomment Dušan Džamonja, Vojin Bakić, Miodrag Živković, Jordan and Iskra Grabula , Bogdan Bogdanović, Gradimir Medaković. […]
[…] Kidult a encore frappé ! Après Hermès (sur laquelle il avait tagué “Love”) , il s’est attaqué à la vitrine de la boutique Louis Vuitton. Cette fois-ci, nous pouvons lire “Yes”. Quel est le mobile de cet artiste ? S’agit-il uniquement d’actes de vandalisme ? Non à en croire l’intéressé : ” Toutes ces boutiques que l’on voit, ont utilisé le graffiti comme une image commerciale, en surfant sur cette tendance, sans même avoir de connaissance sur le graffiti. Je ne fais que leur passer un “hello”. Si ces marques aiment le graffiti, je ne fais que leur donner ce qu’elles aiment. Les marques de luxe représentent l’exact opposé du monde du graffiti, totalement différent des règles de la rue. Chacune de mes peintures est stratégique, que ce soit au niveau du lieu, du sujet choisi ou du support.Le graffiti ne serait pas ce qu’il est sans ce côté sauvage, illégal et subversif, qui le caractérise (…). Ma position est claire. Le graffiti est un art qui s’installe là où il veut, sauvagement, là où il dérange. De fait, le graffiti s’invite chez eux, dans leurs boutiques et cela dérange.” […]